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27/02/2009

Traduction automatique ou intelligence feu d'artificielle ?

lee-stoetzel-computer.jpgOn trouve vraiment de très belle chose sur cette infinité qu'est le web 2.0. Des encyclopédies contributives, des photos de famille, du poker en ligne, des recettes de cuisine et...

... une biographie non autorisée (de moi).

Et quand j'écris non autorisée, ce n'est pas tant que les infos soient fausses (pour une fois), car elles ont été piquées sur Wikipedia, mais plutôt qu'elles ont été traduites par un robot kirghize encore au stade de prototype, pas très au fait ni de la grammaire anglaise ni du sens de ce qu'il pond au kilomètre.

Avis aux ingénieurs qui ont programmé la bête : il serait utile d'implémenter le patch prépositions 2.0, la version du logiciel présente dans la machine laisse un peu à désirer.

Je vous laisse juger par vous-même :

Nicolas Ancion is a Belgian writer born with Liege in Belgium, the May 23rd 1971, parents professional marionnettists.

As of its adolescence, it launches out in the writing of Théâtre and of Nouvelle S. Récompensé in 1989 and 1991 by the International prize Young people Authors, it publishes in 1995 its first novel, too blue Blue sky with the Editions of Hèbe, in Suisse. Then a series from novels and collections of poetry will come which will be worth many prices in Belgium to him and abroad. It was allowed within the Association of the Belgian Writers of French language. Nicolas Ancion is also critical books, cartoons and restaurants for Belgian periodicals. After Brussels, Madrid and Liege, he lives from now on Caux-and-Sauzens (Aude), where he settled with his wife and their two children.

Allez, à tout seigneur tout honneur, ce texte a été trouvé ici.

23/02/2009

Le Jeu des Dictionnaires, c'est de lundi à jeudi

facultés.jpgTous les soirs, de lundi à jeudi, de 17h15 à 18h, je suis invité au Jeu des Dictionnaires, l'émission de radio qui déconne à longueur d'année sur La Première, en Belgique. Vous pouvez l'écouter en direct, bien entendu (sur les ondes radio ou sur Internet) ou, si vous arrivez un peu en retard, télécharger les émissions pendant une semaine à cette adresse : Podcast du jeu des dictionnaires.

Amusez-vous bien !

19/02/2009

L'enregistrement, c'est ce soir

L'enregistrement du Jeu des Dictionnaires, c'est ce soir. Je ne recopie pas toute l'info, il suffit de lire ceci pour en savoir plus.

Belle journée à vous !

17/02/2009

Dans la Cité Volta, portrait sonore d'une cité sociale

Je vous transmets avec plaisir ce joli communiqué, que je viens de recevoir et qui me réjouit :

Ce mercredi 18 février 2009

à 20.00 au Petit Théâtre Mercelis à Ixelles

Dans la Cité Volta, portrait sonore d'une cité sociale

cité volta.jpg

Dans la cité Volta, le roman de Nicolas Ancion, prend pour décor un quartier aux confins d’Ixelles. Des habitants de la cité Volta, rejoints par d’autres ixellois et des amoureux de la littérature, se sont emparés du livre, ont choisi des extraits et les ont lus à haute voix lors d’une lecture-promenade.

Un enregistrement radiophonique prolonge le projet initial : il fait la part belle aux voix, à la ville et à ses bruits, ainsi qu’aux rapports qui se tissent entre ces éléments.

Le mercredi 18 février 2009, des extraits du roman Dans la cité Volta, envahiront le Petit Théâtre Mercelis plongé dans la pénombre pour une écoute tout en émotion.

* En partenariat avec Catherine Vanandruel (asbl Fables rondes), Philippe Delchambre (Radio Campus 92,1 MHz) et CFC-Editions.

Entrée gratuite. La Commune d’Ixelles, à l’initiative du projet, est fière de vous présenter le fruit d’une belle aventure collective.

Petit Théâtre Mercelis
13 rue Mercelis - 1050 Ixelles
02 515 64 63
culture@ixelles.be

PS : pour les amateurs d'aventures sonores inédites, je précise que l'écoute de ce projet radio se fera entièrement dans le noir. A vous d'imaginer le film qui va avec...

Djian, Cestac et Teulé, c'est ce soir (et demain matin)

reveil-ikea.jpgCertains visiteurs m'avaient demandé de mettre un rappel aujourd'hui, je le fais donc très volontiers : il y a une bonne émission littéraire ce soir à la télé et les infos sont ici.

Et comme la critique précède parfois la diffusion, voici ce qu'en disait La Libre ce matin :

Le zoom du jour

Mis en ligne le 17/02/2009

L’enjeu de la littérature contemporaine est une question de regard, d’angle de vue. "Comment parler de choses qu’on a déjà vues cent fois ?" s’interroge Philippe Djian, auteur du récent "Impardonnables" (Gallimard), romancier ("37,2 le matin") mais aussi parolier ("Déjeuner en paix" de Stephan Eicher, c’est lui !). "Ce que l’on peut faire, c’est placer la caméra autrement, différemment".

Face à Thierry Bellefroid, l’écrivain, en général plutôt discret, se livre peu à peu dans Mille-feuilles (La deux, 22h50) , dévoilant sa vision de l’écrivain qui "se sert de toutes les vies qu’il n’a pas vécues", imaginant tous les possibles et, pour cette raison, se permet d’intervenir au cours du récit pour rappeler au lecteur que la narration n’est pas seulement une question de fond mais fait aussi l’objet d’un souci de style.

Prolixe, - Philippe Djian vient d’achever l’écriture d’une série littéraire en six épisodes, "Doggy bag", à l’instar des séries télévisées -, l’écrivain rappelle les efforts et les difficultés rencontrées lors du processus de création et que celle-ci est, rarement, indolore. C’est pourquoi rappeler ce fait lors d’interruptions n’est pas narcissique mais une évocation de la naissance de l’art, pratique dont use Jean Rouaud également.

Dans l’ambiance intime de ce face à face, le "jeu" de la critique mesquine parisienne est évoqué sans détour. Ce genre de critique dont l’effet - celui de propulser, souvent, l’ouvrage en tête des meilleures ventes - est bien loin de celui escompté. "Ces propos très négatifs sont bons pour mon ego," souligne Philippe Djian, non sans ironie.

Malheureusement, nous n’avons pas pu voir la suite de l’émission -appétissante puisqu’elle voyait intervenir Jean Teulé, à l’humour décapant et l’écrivain liégeois Nicolas Ancion, auteur de nouvelles, pièces de théâtre et romans.

En tout cas, l’entretien entre Thierry Bellefroid et Philippe Djian s’est achevé avec l’écoute d’un document sonore étonnant et émouvant : l’écrivain lisant les paroles d’une chanson qu’il venait d’écrire à son ami Stephan Eicher, touché. (C.P.)

14/02/2009

Exclusivité du samedi matin

Rien que pour vous, lecteurs attentifs et passionnés, passant fourbus et déprimés, voici la couverture du prochain titre réédité par Pocket en juin 2009. Le recueil s'appelle "Les ours n'ont pas de problème de parking".

On y retrouve notamment des textes que j'aime beaucoup comme "Le chien brun et la fleur jaune de Chine" ou "Nettoyeage à sec", la nouvelle qui a servi de fond à une polémique entre enseignants, parents et ministre de l'enseignement, il y a quelques années, à l'occasion des évaluations en lecture dans les écoles de Communauté française.

A noter, pour cette réédition, j'ai ajouté un texte désormais introuvable... Il y aura une nouvelle de plus dans le tas, à vous de la repérer (ou pas). Mais pour tout ça, il faudra ettendre l'arrivée dans les librairies début juin. Un peu de patience, une fois encore.

Et bonne Saint-Valentin à tous les amoureux des ours.

Les ours Pocket.jpg

08:43 Publié dans Livres en cours | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : nicolas ancion, littérature, nouvelles, pocket, livre, ours | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | |  Imprimer

04/02/2009

Le 4 février à 20h07 c'est maintenant

reveil-ikea.jpgJe vous l'avais annoncé.

Ceci est donc un simple rappel.

Eh bien, c'est maintenat que ça se passe : http://les807.blogspot.com/

 

Enlivrons-nous à Uccle ce lundi !

Christian et Nicolas.jpgCe lundi soir, le 9 février si mon agenda est correct, je serai à Uccle, au Centre Culturel, pour une rencontre publique avec les lecteurs.

Le cycle de rencontres s'intitule "Enlivrez-vous", ce qui m'amuse beaucoup car c'était également le titre d'une séquence radio, que j'animais avec un immense plaisir dans "Bonjour quand-même", l'émission matinale de Jean-Pierre Hautier sur la première. Le titre me plaisait, mais il passait très mal en radio. On n'appelait jamais la séquence par son nom et JPH disait le plus souvent "Nous alllons retrouver Nicolas Ancion pour parler des rencontres qui se déroulent en librairie dans les prochains jours", ce qui n'était pas plus mal, ça permettait au moins aux auditeurs de comprendre tout de suite de quoi on allait parler.

Pour la petite histoire, la séquence en question était liée au sponsoring de la SMAP, qui, lorsqu'elle a changé de nom, a suspendu ce genre de projet pendant quelques semaines, histoire de voir si ça collait toujours avec la nouvelle étiquette, Ethias. Les choses ont traîné, la séquence a disparu et j'ai arrêté de me lever avant le soleil pour rejoindre les studios de la RTBF à temps pour passer en direct à l'antenne. Liège-Bruxelles à ces heures-là, c'était le parcours du combattant.

On ne parlera sans doute pas de cela, lundi soir à Uccle, mais vous êtes les bienvenus quand-même !

C'est à 18h30 et pour toutes les infos pratiques, vous n'avez qu'à vous rendre ici.

PS : je n'ai évidemment pas de photo de cette rencontre, puisqu'elle n'a pas encore eu lieu. J'ai donc placé une photo prise l'an dernier, à l'abbaye de Stavelot, lors d'une rencontre avec une douzaine de classes du secondaire, autour de mon recueil "Nous sommes tous des playmobiles".